Entre communication et restructuration, les nouveaux chantiers du CING
Installé depuis 1989 à Montmiral dans la Drôme, dans une exploitation nucicole de 40 hectares, dont 36 en AOP (1), Christian Nagearaffe, a été élu président du CING (2) le 7 juin dernier. Déterminé à ce que la filière sorte de la crise, il veut poursuivre les travaux engagés en matière de communication et aller plus loin dans la structuration.

Quelles sont les raisons qui vous ont motivé à succéder à Arnaud Rivière en devenant président du CING ? « En tant que producteur de noix, j’ai toujours été engagé dans la filière. J’ai des responsabilités au sein de la Senura (3), de l’Irfel (4) et cela fait plus d’une dizaine d’années que je suis membre du conseil d’administration du CING. Mon élection permet donc d’abord de respecter le principe d’alternance prévu par les statuts pour ce poste (5). Et comme je suis investi en tant que membre du bureau de l’Association des producteurs de noix du Sud-Est dans les travaux de structuration nationale de la filière, je suis ainsi mieux armé pour faire le lien entre ces instances, et représenter les producteurs lors de rencontres au ministère de l&r...
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