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Seconde guerre mondiale

Les passeurs de mémoires, pour ne rien oublier

80 années après la Libération des camps, le devoir d’histoire demeure fondamental. C’est au travers des témoignages, de l’enseignement, de la littérature, du cinéma, de l’art, des musées, de lieux porteurs d’histoire, que les mémoires restent vives. Lorsque le temps fait son œuvre, détruit toutes les preuves tangibles, les passeurs de mémoires prennent le relais. Rencontre avec ceux qui perpétuent la mémoire des victimes de la Seconde Guerre mondiale. 


 

Les passeurs de mémoires, pour ne rien oublier
Les élèves du lycée Albert Camus, lors de leur visite du camp d’Auschwitz (Pologne).

Le 27 janvier 1945, le camp d’Auschwitz (Pologne), composé de trois camps (Auschwitz I (camp principal), Auschwitz II-Birkenau (camp d'extermination), et Auschwitz III-Monowitz (camp de travail), se voyait libéré par les troupes soviétiques. Derrière ces portes de l’innommable, les soldats ont tout de même trouvé des survivants. Auschwitz n’est pas devenu le symbole de la Shoah par hasard : il a réuni en son sein la criminalité et la barbarie absolues, le massacre de plus d’un million d&rsquo...

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