Elevage
Le Concours départemental d'élevage de Lans-en-Vercors a rassemblé de nombreux éleveurs passionnés. Retour en vidéo sur l'ambiance de cette manifestation.
Le Concours départemental d'élevage de Lans-en-Vercors a rassemblé de nombreux éleveurs passionnés. Retour en vidéo sur l'ambiance de cette manifestation.
Le président de la FNSEA, Arnaud Rousseau, et son homologue de Jeunes agriculteurs (JA), Pierrick Horel, ont organisé le 29 août à Paris une conférence de presse de rentrée pour présenter leurs propositions pour une loi « Entreprendre en agriculture ». Si rien ne bouge, des actions syndicales pourraient reprendre à l’automne.
Les présidents de la chambre régionale d’agriculture, de la chambre de métiers et de l'artisanat (CMA) et de la chambre de commerce et d'industrie (CCI) d’Auvergne-Rhône-Alpes se sont rencontrés courant de l’été afin de partager leurs visions.
Face à la multiplication de la fièvre catarrhale ovine de sérotype 8 (FCO-8) sur les ruminants, deux représentants de la filière ovine alertent sur la nécessité de détecter l’épizootie et de procéder à la vaccination des animaux.
Plus de neuf agriculteurs sur dix ont décroché les éco-régimes pour leur première année de mise en œuvre. La plupart d’entre eux ont choisi la voie des pratiques agronomiques.
Au 23 août, 190 foyers du nouveau sérotype 3 de la fièvre catarrhale ovine (FCO-3) étaient recensés. Une propagation observée de près par le ministère qui annonçait le 23 août ne pas commander de nouvelles doses de vaccin dans l’immédiat. Les syndicats appellent à en commander en masse.
L’intelligence artificielle (IA) n’entraîne pas les progrès espérés de productivité dans l’économie. Pour qu’elle fasse gagner de la productivité aux filières agricoles, il faut que celles-ci soient préservées des confrontations sociétales, particulièrement fortes en France, notamment avec les écologistes, a indiqué récemment Gilles Babinet, coprésident du Conseil national du numérique.
A l’occasion des dix ans de l’IGP saint-marcellin, et dans l’attente de celle du saint-félicien, l’interprofession multiplie les initiatives pour faire davantage connaître et consommer les deux produits.
La récolte 2024 a commencé dans plusieurs départements, notamment méridionaux. Un millésime particulièrement délicat s’annonce à l’issue d’une année climatique mouvementée.
Mercredi 21 août, la tonne de blé tendre est passée en Europe sous la barre symbolique des 200 € pour la livraison la plus rapprochée (septembre), tandis que le maïs se vendait autour de 195 €/t.
La finale régionale de labours aura lieu le 1er septembre dans le Puy-de-Dôme, l’occasion pour le président régional de Jeunes agriculteurs, Jocelyn Dubost, de rappeler la détermination du réseau de voir les combats syndicaux aboutir alors que la rentrée est emplie d’incertitudes.
La production nationale d’aliments composés baisserait de 5 % par an pour s’établir un peu au-dessus de 18 millions de tonnes d’ici 2030, selon le rapport d’enquête prospective éditée par la section nutrition animale de La Coopération agricole.
Dans un communiqué publié mi-août, l’interprofession céréalière (Intercéréales) rassure sur la mauvaise récolte en blé tendre pour cette année. « La production 2024 permettra de répondre à la demande nationale. »
Selon les prévisions dévoilées début août par la WAPA*, la production européenne de pomme chuterait de 11,3 % en 2024. Une légère reprise est attendue en poire.
Selon les premières estimations du service statistique du ministère de l’Agriculture (Agreste), la production viticole 2024 s’établierait entre 40 et 43 Mhl.